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Partage lumière / lien de mains en mains
Partage lumière

"L'expérience, ce n'est pas ce qui nous arrive mais ce que nous faisons avec ce qui nous arrive."

A. Huxley

La fin, la mort et le deuil

Qu’est-ce que la fin, la mort , le deuil ? Quelles sont nos peurs  ? Comment aborder la fin de quelque chose, le deuil des êtres que nous aimons ? Comment accueillir ce qui se termine, comme la fin d’une histoire, la fin d’un cycle de vie, la deuil d’une relation, le deuil d’une fin de contrat ?

 

Il n’est pas facile de parler de la mort, d’accueillir la fin de quelque chose et d’en faire le deuil, il est parfois plus facile d’écrire, de le dessiner, de le chanter ou le mettre en musique. Chacun doit trouver ce qui raisonne pour lui/elle.

 

Nous savons tous que nous naissons pour vivre notre vie et mourir. Nous savons tous que la vie n’est que mouvement. Nous savons tous qu’il faut qu’il y ait une fin pour qu’il y ait un renouveau.

 

La nature est ainsi faite. Tout n’est qu’impermanence : la nuit/le jour, la naissance/la mort, de début/la Fin, Tout comme les graines que l’on sème, poussent, grandissent, deviennent de belles fleurs, puis finissent par faner.

 

Si nous parlions de la mort :

 

Qu’est ce qui fait que la mort est si difficile à accepter dans notre société ? Beaucoup d’entre nous, ont peur de la mort. Mais de quoi avons-nous peur réellement ? Est-ce la peur de vieillir ? Est-ce la peur de ce qu’il y a après ? Est-ce la peur d’être seul, ou encore la peur du manque lorsqu’un de nos proches, décède ? Quelles sont nos croyances face à la mort ? Que nous dit la société, la tradition familiale, ou encore la religion ? Quelles questions nous posons-nous ?

 

Nos croyances peuvent évoluer au même titre que nous grandissons en âge et en sagesse. Accepter ou plutôt accueillir la mort ou la fin d’une histoire, d’un contrat ou de quoi que ce soit d’autre, nous permet de mieux vivre chaque instant de notre vie. Ne serait-il pas possible de changer nos croyances ou notre point de vue pour que cela nous apaise et nous permette d’aborder nos difficultés de manière plus sereine et plus douce ?

 

J’ai envie de croire que lorsqu’une porte se ferme, c’est qu’une autre, peut être plus grande et plus belle doit s’ouvrir pour nous.

 

J’ai envie de croire que lorsque quelque chose se termine c’est pour un renouveau plus en accord avec soi- « m’aime ».

 

J’ai envie de croire que la mort n’est pas une fin en soi, qu’il y a quelque chose de beau et de merveilleux quand on rejoint le royaume des anges, des cieux ou tout autre lieu.

 

Je veux croire en cela car, pour avoir accompagné mon père et ma mère en fin de vie, j’ai vu comme leur visage était apaisé lors du passage vers autre chose.

 

D’ailleurs, n’avez-vous jamais connu, entendu des témoignages de personnes ayant vécu des expériences de mort imminente ? Certaines racontent avoir ressenti une grande sérénité et vu une belle lumière d’amour au fond d’un tunnel.

 

Ces croyances permettent d’être confiant-e et de profiter de la vie, ici et maintenant.

 


 

Observez comme le temps nous permet d’accueillir la mort de nos êtres les plus cher, de plus en plus sereinement. Ce temps est plus ou moins long selon les personnes, et il est important de respecter ce temps d’acceptation et sa durée … comme dit la chanson de … « Il faut laisser le temps au temps »

 

Observez comme le temps apaise ce qui nous traverse dans les premiers temps de la fin de quelque chose.

 

Ce temps est nécessaire pour laisser évoluer nos émotions et prendre de la distance.

 

Des « stades » ont été répertoriées comme les 7 étapes du deuil qui sont les suivantes :

 

  1. Le choc et le déni

  2. La douleur et la culpabilité

  3. La colère

  4. La frustration de la perte subie

  5. La dépression et le manque

  6. La reconstruction

  7. L’acceptation

 

Même si la souffrance de la perte d’un être cher est propre à chacun, comprendre ce processus permet de nous aider à traverser cette douleur émotionnelle. Et ces étapes peuvent être ressentis lors de toute fin.

 

Et gardons à l’esprit qu’il est possible de surmonter nos sentiments de tristesse extrême ; Le temps est notre allié.

 

Observez enfin les souvenirs, ne remarquez-vous pas que seuls les meilleurs restent ? Pour ce faire, il est bien sûr nécessaire de passer par toutes les étapes du deuil. La première étape est d’autant plus difficile lorsque la mort ou la fin de quelque chose a été brutale. Il est évidemment très douloureux de ne pas avoir eu le temps de dire au revoir à une personne aimée, à des collègues, à un lieu, à une histoire.

 

Sachez que vous avez toujours la possibilité de croire que vous pouvez le faire en vous reliant avec le lien du cœur...Si besoin faites vous accompagner à le faire avec l’hypnothérapie ou une tout autre méthode qui vous inspire avec une personne compétente et bienveillante.

 

C’est pourquoi, nous pouvons prendre la résolution de mesurer l’importance des séparations et de les vivres en conscience. Et nous pouvons aussi l’expliquer à nos proches, voir à nos enfants : se dire « au revoir », c’est essentiel, même si on est fâché car on ne sait pas ce qu’il peut arriver. Et vivre avec des regrets est extrêmement difficile et négatif.

 

Parfois, la vie nous malmène et nous sentons la mort ou la fin toute proche. Cette éventualité est effrayante, mais malgré tout, elle nous offre la possibilité de prendre conscience du bonheur de vivre l’instant présent. Alors, nous sommes capables de s’éveiller à autre chose, d’évoluer, de changer, d’aborder la vie autrement.

 

La vie est précieuse, réalisons dès à présent que nous devons en prendre soin.

 

J’ai envie de vous transmettre et partager mon expérience.

 

Il est un slogan qui m’est cher : « M., sa force c’est LA VIE ». Ce jeune homme de 19 ans, mon fils, m’a appris la valeur de la vie pendant son combat contre la maladie, un lymphome de Hodgkin, qui a failli lui coûter la vie à plusieurs reprises. Sa force a toujours été de croire en lui et à sa capacité à accepter les choses qui lui arrivent. A souffrir quand il a mal et uniquement à ce moment-là…ni avant, ni après…et le reste du temps, profiter de la vie. Il nous a donné, et nous donne encore une belle leçon de vie à nous, sa famille proche, ses amis, et tous ceux qui le croisent.

 

Pour conclure, la mort et la fin nous accompagne tout au long de la vie. Il ne s’agit pas ici de minimiser la douleur, mais de la vivre lorsqu’elle doit être vécu car refouler ses émotions ne fait que les étouffer. Il est important de savoir qu’alors, un jour ou l’autre elles ressurgissent comme un volcan en éruption. L’idée est de trouver des solutions pour accepter nos épreuves et mieux vivre la mort, la fin et le deuil.

 

Belle vie à tous !

 

 

construire un nouveau monde avant/apres covid

Comment avons-nous vécu cette période particulière ? Y a-t-il un AVANT/APRES Covid ? Comment pouvons-nous construire ce monde nouveau?

 

Ou encore

 

Qu’est-ce que la liberté ? Comment la voir ? Quelle est la manière de la trouver ou de la retrouver ?

  

Je crois que chacun a vécu cette période d’annonce d’un virus dévastateur dans le monde entier, puis de confinement, puis de déconfinement à sa manière … très singulière.

 

La manière dont je l’ai vécu

Le mardi 17 mars 2020 est le 1er jour du confinement / Lundi 11 mai est le 1er jour du déconfinement

 

Pour les enfants … c’est le bonheur !!! plus d’école !!! mais c’est sans compter ce qu’envoient les instit’ et prof’… En fait, c’est toujours l’école mais à la maison avec papa et maman à tour de rôle … Les premiers jours et les problèmes de connexions permettent une certaine adaptation sans stress … Mais après une semaine, tout le monde est rodé et ça devient moins drôle. Même si on ne commence à travailler qu’à 10h, les enfants demandent rapidement :

-         c’est quand la récré ? 

et maman répond :

-         Lève le doigt quand tu as une question s’il te plait, comme à l’école 

A 10H20

-         M’dam, on peut aller en récré ? 

et là, maman s’énerve 

-         Tu rigoles ou quoi, tu as mis un quart d’heure à t’installer et là ça fait 5 minutes que tu es devant ton exercice, bosse un peu bordel !!!. Tu n’iras pas en récré tant que tu n’auras pas terminé ! 

Du coup, en 5 minutes c’est fini. Pas d’autres choix que de faire la récré…

 

Ahhh la pédagogie d’un ou d’une instit ou prof, c’est un métier…Nous les regarderons différemment maintenant !!!.

 

En même temps, sur les réseaux sociaux, tout le monde y va de ses petites astuces pour gérer le stress, trouver des occupations, voir les côtés positifs, penser à l’après qui va revenir vite…

Certains passent à la radio pour présenter la cohérence cardiaque (C’est moi sur France Bleu Loire Océan !) et ses bienfaits ou sur le « prendre soin de soi avec la méditation » pour les enfants et les adultes, les cours de yoga ou de pilates sur facebook ou youtube.

 

Très vite on ressent le besoin de soutenir le personnel soignant, les gens applaudissent à leur fenêtre, un mélomane dans le quartier nous fait partager sa passion pour le saxo tous les soir à 20h, c’est un vrai régal. D’autres proposent leurs services bénévolement, des séances d’hypnorelaxation gratuites, par exemple. L’écoute des psychologues, sophrologues, hypnothérapeutes et autres thérapies pouvant se faire à distance, sont sollicités pour leurs venir en aide. Il parait normal de soutenir leur travail. Ce métier qu’ils font malgré la peur et la désorganisation, le manque de moyens et la détresse de constater quotidiennement les conséquences du virus.

 

Or, pendant ce temps, la nature reprend ses droits, c’est le printemps avec toute sa beauté qui resplendit encore plus quand on la laisse tranquille. Des fleurs magnifiques jonchent les fossés et bordures de routes. Les oiseaux chantent des mélodies toutes en couleur et pleines de joie, les parfums de ces fleurs chatouillent les narines et nous enivrent. Enfin, on a le temps de voir tout cela et d’apprécier pleinement de mieux respirer car il y a moins de pollution.

 

Que nous apprend ce virus ?

Ce virus nous réapprend les choses simples de la vie, et alors qu’il provoque des problèmes respiratoire, la planète, elle, recommence à respirer. Il nous apprend à être ensemble et à regarder ce qui nous entoure dans l’instant présent. Il nous permet de prendre conscience qu’être ensemble est plus facile pour certains que pour d’autres. Que la liberté de prendre l’air pour certains ou certaines est primordial et que même si nous devons rester chez nous, il est important de trouver nos propres solutions pour rester en bonne santé.

 

Et puis il y a l’après confinement. Recommencer rapidement mais avec toutes les précautions possibles pour relancer l’économie ou construire un nouveau monde, au choix. Revenir à la vie d’avant ou encore sauver les meubles pour ceux qui ont perdu beaucoup.

 

Et toi comment vis-tu tout cela ?

 

Y a-t-il un avant et un après ? Il semble qu’en effet nous n’oublierons pas cette période particulière et même si on tend à revenir à une vie plus normale après ce confinement, il y a des incertitudes puis des informations et des contre-informations qui nous amènent à réfléchir à ce qui s’est passé, à ce qui se passe et à ce qui se passera…

 

Observons ce qui se passe dans notre corps… Comment étions-nous avant le confinement, que s’est-il passé pendant ? Qu’est-ce qui a été le plus marquant pour vous, dans vos ressentis ? Dans ce que vous avez pu voir autour de vous ? Qu’avez-vous entendu alors que vous étiez confiné ? Était-ce les informations ou vous êtes-vous surpris à écouter autre chose … Le silence peut-être ? Quelles sont les paroles que vous entendiez à l’intérieur ? Comment était votre corps ? Qu’avez-vous ressenti dans votre cœur, une angoisse permanente ou au contraire un apaisement progressif ? Avez-vous observé une évolution dans votre comportement plus ou moins positifs face à ce qui s’est passé ? ce qui se passe?

 

Comment pouvons-nous construire ce nouveau monde ?

Devenons ou redevenons acteurs, actrices de nos choix, de nos idées qui sont liés à notre conscience. Ce que nous dicte notre cœur en toute simplicité. Il n’est pas question de faire des choses compliquées mais plutôt de faire ce qui est simple pour soi-même.

 

·       N’est-il pas simple de ramasser les déchets que nous trouvons par terre pour que la nature reste belle et propre ?

·       N’est-il pas simple d’être respectueux envers les autres ? ou respectueux envers soi « m’aime » ?

·       N’est-il pas simple de trouver des solutions pour les autres ?

 

Comment faire ?

Pourquoi pas en prenant soin de soi, en respirant, en agissant en conscience, en étant attentif à soi et également aux autres, à ceux qui nous entourent et puis à tous ceux avec qui nous sommes en lien. Ces personnes qui partagent notre chemin de vie sont là pour nous aider avant tout. Observons tout cela, observons tout ce qui nous entoure pour agir simplement pour la création de ce nouveau monde.

Lorsque c’est simple, c’est juste ! C’est fluide et en accord avec soi, nous sommes constant dans nos actions.

Observons ce qui nous parle au fond de nous avant tout. Nous savons mieux que quiconque ce qui est bon pour nous et n’avons nul besoin d’être dirigé. Nous savons prendre la bonne direction, les bonnes décisions, si nous écoutons notre cœur.

Accueillons qui nous sommes, nous sommes des êtres plein de bon sens. Notre corps est une merveilleuse machine, respectons le, respectons nous et respectons la nature qui nous permet de vivre car c’est grâce à elle que nous respirons. Nous pouvons nous adapter à ce qui nous arrive, comme tout être vivant s’est adapté à la nature qui change et qui a changé.

Nous savons faire, écoutons nous !

 

 

 

L'Auto-hypnose pour apaiser l'angoisse du coronavirus

Article pour Médoucine - 6è semaine de confinement

 

Qu’est-ce que l’auto-hypnose ? Comment y accéder ? Qu’est-ce que ça nous apporte ?

 

L’hypnose ou l’autohypnose est un état modifié de conscience, le même état que lorsqu’on fait de la relaxation et de la méditation. On est tous en capacité d’accéder à cet état là en se focalisant sur la respiration ventrale notamment. Cet état permet de « lâcher prise » et se recentrer sur soi afin d’être à l’écoute de nos ressentis extérieurs et intérieurs.

 

Qu'est-ce que le lâcher prise ?

 

Je dirais qu'il est différent pour chacun d'entre-nous et tant qu'on ne l'a pas réellement senti au fond de soi, on ne sait pas ce que c'est.

Cela peut être prendre de la distance, laisser courir, laisser faire, se contenter de ce que l'on a, etc...

Gaston Brosseau disait : "Il n'y a rien d'autre à faire que laisser faire" 

C'est une phrase qui me parle quand je pense au lâcher prise. Lâcher prise, pour moi, c'est laisser faire...Ce qui signifie que quoi qu'il arrive, les choses se passent et elles sont telles qu’elles sont. Et si nous lâchons prise alors nous pouvons entendre ce qu'elles nous apportent, même si des situations difficiles arrivent...et alors nous pouvons agir en conscience avec qui nous sommes et ce qui nous caractérise.

 

Lâcher prise ou laisser faire, ne signifie pas abdiquer mais accepter ce qui se passe pour mieux agir pour notre bien-être.

 

Comment accéder à l’autohypnose ?

 

La cohérence cardiaque 365 est un très bon moyen pour se permettre de lâcher prise, de se relaxer. C’est prendre un temps de pause et observer ce que cela peut nous apporter de positif.


3 = 3 fois par jour

6 = 6 mouvements respiratoires/minute

5 = 5 minutes

365 = tous les jours de l’année

·         Inspirer par le nez permet de bloquer les hormones de stress

·         Expirer en soufflant par la bouche doucement permet de libérer les hormones de bien-être, de bonheur, plaisir, sommeil et régénérescence des cellules. 

Cette respiration ventrale permet de rééquilibrer la balance du système nerveux central. C’est une nouvelle hygiène de vie émotionnelle au même titre qu’on prend soin de son hygiène corporelle en se lavant chaque jour. Cela permet de gérer ses émotions et d’être mieux dans son corps et dans sa tête.

Pratique de la cohérence cardiaque 365 avec visualisation en 3 étapes

S’installer confortablement dans un endroit calme avec éventuellement de la musique zen si c’est bien pour vous. Ceci dit, vous pouvez le faire également n'importe où en vous concentrant sur vous, sur votre respiration et sur ce temps, que vous vous accordez.

 

Pratiquer en 3 étapes gardez toujours les yeux fermés et passer progressivement

·       De la flame d’une bougie,

·       Au ballon,

·       Puis au lieu de bien-être (il peut être réel ou imaginaire).


Se servir des 5 sens : visuel, auditif, olfactif, gustatif, kinesthésique (toucher et le ressenti interne)

 

Qu’est-ce que ça nous apporte ?

Un apaisement quasi instantané dès quelques respirations. Une sensation de se relâcher et de se ressourcer. Une détente et une évasion en l’espace de quelques minutes seulement.

 

A essayer… Je vous invite à visionner le « live » réalisé avec Nolwen de Médoucine sur la page facebook de médoucine le dimanche 29 mars 2020

Le Cancer, ce fléau

 

Le Cancer, ce fléau qui touche chacun d’entre nous de près ou de loin

 

 

Vous connaissez quelqu’un qui est ou a été atteint d’un cancer autour de vous ?

 

Un papa, une maman, une sœur, un frère, un ou une amie, l’enfant d’un proche, peut être le vôtre ou vous même…

 

Peu de personnes sont épargnées, n’est ce pas ?

 

Tout d’abord qu’est ce que le cancer ?

 

Comment se vit l’annonce de cette maladie ? Comment l’avez-vous vécu ?

 

Et aujourd’hui, comment vivez-vous avec ? Peut-être la maladie peut se vivre autrement ? Quoi qu’il arrive, il y a un avant et un après.

 

Comment faire face et continuer d’aller de l’avant, que vous soyez malade ou accompagnant ? Comment cette maladie est vécue par vos proches, par l’entourage ?

 

Que vous apportera cette épreuve de la vie ?

 

Autant de questions qui se posent, et bien d’autres encore…

 

 

 

« Le cancer », Il me semble que cette maladie est omniprésente. Pourtant, nous ne voulons pas la voir, pas en entendre parler, car elle est porteuse de peurs … de mort. Vous connaissez quelqu’un mort à la suite d’un cancer ? Probablement… Et à la fois un plus grand nombre de personnes en guérissent aujourd’hui.

 

Lorsque la maladie arrive, une spirale infernale se met en place. C’est un électrochoc, une détresse immense.

 

Comment vit-on l’annonce d’une maladie comme celle-ci ? Je ne crois pas avoir entendu un jour quelqu’un qui l’ai bien vécu…les phrases qu’on entend sont « Je me suis pris-e un mur en pleine face », « je suis tombé-e à genou », « j’ai été pris-e de panique »… Bien sûr que l’annonce est un moment des plus douloureux, rempli de peur, d’inconnu, de tout ce qu’on entend de négatif sur ce « fléau », sur cette « M…. »,

 

 

 

Mais comment pouvons-nous le vivre autrement à ce moment là ???

 

 

 

Dans un premier temps, l’émotion vous envahi totalement. Mais pourtant vous faites face au jour le jour. Ce que je vous invite à faire, c’est à vivre l’émotion pleinement, où se loge t’elle ? Observez à quel endroit du corps ça fait mal, où se situe la peur ? Est-ce vis-à-vis de vous « m’aime » ou des autres ? Prendre un temps de pause pour « digérer » et accueillir la situation jour après jours … mois après mois.

 

 

 

D’abord, nous entendons que chaque cas est différent puisque chaque personne est différente. Il existe certes des protocoles classiques pour chaque maladie et nous nous rendons vite compte que notre voisin qui a le même cancer peut avoir un traitement différent.

 

A ce moment là on nous explique et on nous présente la maladie.  Nous sommes faits de cellules et le cancer est une cellule qui « devient folle ». C’est de cette manière que les médecins oncologues l’ont expliqué à mon fils atteint d’un lymphome de Hodgkin (ou cancer des ganglions). Cette cellule se multiplie en de nombreuses cellules « folles ». Ceci crée des anomalies dans l’organe ou les organes atteints qui ne peuvent plus fonctionner normalement.

 

 

 

Aujourd’hui, je ne viens pas vous apporter des réponses sur votre cas de cancer car les médecins cancérologues qui vous accompagnent sont les mieux placés pour en parler et vous soigner.

 

 

 

Pour ma part, je viens témoigner sur la façon dont on peut vivre les situations plus ou moins douloureuses autour de la maladie.

 

 

 

Dans un second temps je vous invite à prendre du recul pour observer les ressources que vous mettez en place pour vous battre contre votre maladie ou pour accompagner un proche atteint. Observez le guerrier que vous êtes ou le guerrier que vous voyez en votre proche qui est malade.

 

 

 

Observez également comment réagissent vos proches sans jugement, seulement dans l’accueil de ce qui est. Il est des personnes qui sont présentes et vont tout faire pour alléger votre quotidien. D’autres qui vont vous proposer leur aide mais il ne faut pas que ça dérange trop leur quotidien. Et puis il y a ceux qui n’osent plus venir vers vous, ceux qui ne savent pas quoi dire, quoi faire … ceux qui ne peuvent pas … Et puis aussi, ceux qui pensent à votre place que vous avez besoin de repos et qu’il ne faut pas vous déranger, que vous préférez sûrement être seul … Et encore, ceux qui n’osent plus rire en votre présence. Ceux qui vous plaignent et qui se plaignent également. Ceux qui ont peur que ça leur arrive et qui préfère s’éloigner pour ne pas se confronter à leur propre peur…etc…

 

 

 

Il y a des moments où on en veut à tout le monde et d’autres moments où on est en capacité de comprendre que chaque personne réagit différemment face à la maladie…c’est ainsi… Il n’y a rien d’autre à faire que laisser venir ceux qui se présentent et qui vous font de beaux cadeaux… un geste, un sourire, des mots et pensées positives, une aide qu’on n’attendait pas, etc….

 

 

 

La maladie est là, c’est votre quotidien…Petit à petit vous réalisez qu’après cette détresse, Elle vous apprend à revenir à l’essentiel et à vous transformer.

 

Dans un précédent article j’ai écrit ceci : « Nous ne savons jamais vraiment qui nous sommes. Cependant, il est important de savoir que nous cheminons pour aller vers cet être qui grandit à l’intérieur de nous. Cette lumière qui s’illumine au fil du temps, de notre existence, de notre chemin de vie avec ses moments de joie et ses moments plus difficiles. C’est ce qui nous fait avancer et évoluer vers qui nous sommes aujourd’hui. » Ces phrases ont toute leur place également dans cet article-ci puisque la maladie nous fait évoluer et parfois même de manière très positive.

 

 

 

La maladie fait réfléchir à l’essence même de la vie et de qui vous êtes. Comme a dit un jour Paolo Coelho : «  Les tempêtes ne viennent pas toutes perturber ta vie. Certaines viennent pour dégager ton chemin ». On ne voit plus la vie de la même façon et on est alors en capacité d’être et de vivre l’instant présent car la mort est peut être pour demain. On ne reporte plus toutes ces choses qu’on rêvait de faire. On veut faire le plus plaisir possible à ce proche qu’on accompagne. On est à l’écoute de nos envies, de ce que nous dicte notre cœur plutôt que de faire notre devoir.

 

 

 

Mon fils m’a dit il y a quelques jours alors que je lui disais que j’écrivais un article sur le cancer : « Maman, c’est grâce à ma maladie que tu es devenue hypnothérapeute et que je suis Moi aujourd’hui !»

 

Et moi de lui répondre : « Oui et c’est grâce à ta maladie si nous avons tous évolué. Tu as montré à toutes les personnes qui ont croisé ton chemin qu’il fallait vivre simplement et accueillir le moment présent. Tu es sage, tu sais faire ce qui est bon pour toi, et tu nous montres un très bel exemple. Merci. »

 

 

 

Comment peut-on arriver à cette sagesse ? Comment est-il possible de vivre chaque instant comme si c’était le dernier ? Il est important de réussir à vivre pleinement l’instant présent, sans regretter le passé, ni se projeter sans arrêt dans le futur. Il est possible d’apprécier toutes les choses simples de la vie, comme se promener dans la nature, prendre le temps de rendre visite aux gens qu’on aime…

 

 

 

Respirez en conscience, prendre du temps pour soi…

 

 

 

…Ecoutez votre cœur, il sait !!!

 

L'énergie de rentrée

nettoyer/changer/ renaître/énergie du changement
Energie du changement à la renaissance

Quelle est cette énergie ? Que nous inspire-t ’elle ? Comment la ressent-on ? Vers où sa puissance nous emmène-t-elle ?

 

 

Ressentez-vous cette énergie qui nous anime quelques jours avant la rentrée et encore plusieurs jours et semaines après celle-ci ? D’abord, cette envie qui nous pousse à ranger, à nettoyer, puis à vider, à se débarrasser… enfin, à avancer et à changer ? Elle est là l’énergie de rentrée !! Elle nous pousse à aller de l’avant en lâchant ce qu’il est bon de lâcher pour être plus serein et aller vers un avenir plus en accord avec soi.

 

Observez toutes les publicités que nous recevons et qui nous offrent le moyen de changer à la rentrée : Changez d’opérateur énergétique à la rentrée, faites le plein d’énergie à la rentrée avec…, les 10 reflexes énergie de la rentrée …, offre spéciale rentrée, énergie… , Profitez de la grande énergie de la rentrée… etc…

 

Dans notre quotidien, nous vivons ce changement : les enfants changent de classe, on change d’année scolaire, on change de saison, on change d’alimentation… même le climat change à la rentrée. Remarquez comme le soleil décline et nous émerveille, Observez et ressentez la fraîcheur des brumes matinales. Humez l’air et les nouvelles odeurs à plein poumons, Ecoutez le plaisir d’entendre le vent dans les feuilles et percevez quel sens est en émoi lors des averses et du temps changeant de l’automne. Nos sens sont essentiels pour ressentir, vivre et apprécier le mouvement de la vie.

 

Le changement fait partie de nous, de nos vies. La vie est un mouvement permanent et la rentrée nous offre l’occasion d’être les acteurs et actrices de ce changement. Après la période de repos des vacances, accueillir cette énergie de septembre c’est s’ouvrir au renouveau. Préparons-nous à un nouveau cycle : l’action, la créativité, la concrétisation. Retrouvons l’équilibre d’un nouveau départ à la rentrée en laissant cette énergie nettoyer et alléger ce qui a besoin de l’être. Alors, allons vers la joie de vivre différemment.

 

Il me semble important de remercier cette énergie, de la laisser faire en lâchant prise. Ainsi, grâce à elle nous nous préparons à vivre une année nouvelle qui est l’expression de notre désir d’évoluer vers un mieux-être en pleine conscience. Nous sommes bien sur notre chemin de vie, en évolution constante et profonde.

Ce poids qui encombre corps et esprit

poids / Corps et Esprit / Accéder à la légèreté
Gestion du poids / Aller vers la légèreté

Quel est ce poids qui m’encombre ? Quel est ce problème avec mon poids ? Qu’est ce que mon corps vient me dire que mon cœur n’entend pas ? Comment puis-je apaiser ce dilemme pour m’équilibrer et aligner mon corps, mon cœur et mon esprit ? Comment me soigner en mettant des mots sur mes maux ? 

 

Alors que je ressens pleinement ce mal-être au fond de moi, je ne comprends pas ce comportement compulsif lorsque je suis face à la nourriture. Je fais pourtant le choix de l’écouter. Ce qui fait que ce mal-être est étouffé au fond de moi, comme si je mettais un couvercle dessus pour ne plus l’entendre. Que se passe-t-il alors ? Mon attitude devient plus moins « pathologique », plus ou moins proche de ce qu’on appelle, la « boulimie » d’une part, « l’anorexie» d’autre part, si on veut mettre des « gros » mots sur ces comportements. Chacun agit avec les moyens qu’il a, pour faire taire ce qui le dérange. L’inconscient, notre meilleur ami, nous aide dans cela. Il se fie aux intentions que nous lui envoyons. Nos comportements sont liés à notre éducation, à nos croyances, à nos peurs, aux jugements que nous avons envers nous-« m’aime », envers les autres et celui que les autres nous renvoient. Observons comme ce triangle de vie, que j'appelle également Triangle de la transformation et de la libération nous indique une voie pour sortir de ce schéma.

 

En préparant cet article, je relis ce livre de Laurent Gounelle : « l’homme qui voulait être heureux »

 

Des phrases raisonnent en moi alors que j’écris : « ce que l’on croit devient notre réalité » dit-il, ou encore : « le problème n’est pas dans notre corps mais dans notre tête ». Que nous dit-il ? Lorsque l’on est conscient de ces 2 choses, on peut se libérer de tout ce qui nous pèse. Observez comme ce triangle peut nous transformer et nous libérer de toutes nos croyances, de nos peurs et de tout ce qui nous encombre.

 

« Nos croyances nous amènent à filtrer la réalité. Ça signifie que ce que nous voyons, entendons, sentons et ressentons dépend de notre vision de la vie. Elle est propre à chacun d’entre nous.

Ce qui renforce nos croyances, c’est ce que l’on croit de la réalité qui agit comme un filtre, comme une paire de lunette sélective qui nous amène à voir ce que nous croyons être vrai.

Ex : Si on croit que le monde est dangereux, on porte son attention sur tous les dangers qui nous entourent, réels, ou potentiel. Ce qui accentue notre sentiment et nous permet d’interpréter la réalité. »

 

Lorsque l’on croit une chose, elle nous amène à adopter certains comportements. Ce processus inconscient est puissant.

Une autre phrase m’inspire et me guide : « L’amour est l’essence, la substance de l’univers » Around Lipschritz…

Alors, si je m’aime et me respecte, comment puis-je accepter le poids qui me correspond ? Mes formes singulières? Comment réguler le poids de mes émotions ? Comment accepter le poids de la vie ?

 

Il me semble que nous devrions apprendre chaque jour à nous connaître un peu mieux et nous fixer des objectifs en accord avec nous « m’aime ». Cessons de créer une image de celui ou celle que nous voudrions être aux yeux des autres, de la société, de notre éducation… C’est aussi apprendre à se soigner en mettant des mots pour guérir nos maux.

 

Continuer de se faire plaisir en activant un autre processus dans l’inconscient, c’est possible, il est important d’y croire. Observez comme les papillons ont le pouvoir de se transformer…Alors qu’ils naissent chenille et rampent à terre, ils ont le pouvoir de se libérer de ce corps pour s’envoler vers un autre corps aux couleurs lumineuses et improbables…Pourquoi ne pourrions-nous pas en faire autant ? Pourquoi n’aurions nous pas nous aussi des pouvoirs extraordinaires de transformation ? 

 

Le rapport à la nourriture est un phénomène complexe. Notre inconscient met en place des comportements pour notre bien, soit par protection, soit pour nous faire avancer et vivre le plus normalement possible. Tout comportement présente un ou plusieurs avantages pour une partie de nous. Il nous apporte forcément quelque chose, un avantage, un bénéfice secondaire ou permet de satisfaire un besoin. Il y a une intention positive derrière chaque comportement. Une bonne raison pour que notre inconscient l’ait mis en place.

L’hypnose est un fabuleux outil pour nous accompagner à modifier nos comportements alimentaires tout en gardant la joie et le plaisir d’être gourmand. Nous sommes capables de réguler notre poids, nos formes et les maintenir dans le temps en changeant notre comportement inconscient. En modifiant et en reprogrammant notre inconscient pour être en accord avec notre être intérieur et non plus se protéger de l’extérieur.

 

Plusieurs stratégies peuvent être accompagnées, notamment :

  • Evacuer le passé
  • Accepter le lâcher prise
  • Se pardonner et s’aimer
  • Accepter son corps et manger juste ce qui est nécessaire
  • Lâcher ses peurs
  • Retrouver la liberté
  • être en bonne santé

Notre corps est un instrument merveilleux qui permet de se réaligner avec notre esprit par le simple fait de croire en toutes nos possibilités. Lorsque l’on prend conscience de l’alignement de notre corps et de notre esprit, nos sensations nous aident à faire des choix qui permettent de nous rapprocher de plus en plus de nos aspirations personnelles et d’être en accord avec notre être profond.

 

« Nous sommes ce que nous pensons. Avec nos pensées, nous bâtissons notre monde. » Bouddha

Qui suis-je ? Qui êtes-vous?

Espace Zen / Intérieur / Bien être / Exister
Lieu Zen / espace bien-être

Savons-nous qui nous sommes ?

Sommes-nous réellement nous-mêmes ? Comment être celui ou celle que nous sommes profondément et non pas celui ou celle que nous voudrions être ?

Que faire pour ne pas exister par rapport à l’autre ou aux autres ?

 

Il me semble que nous ne savons jamais vraiment qui nous sommes. Cependant, il est important de savoir que nous cheminons pour aller vers cet être qui grandit à l’intérieur de nous. Cette lumière qui s’illumine au fil du temps, de notre existence, de notre chemin de vie avec ses moments de joie et ses moments plus difficiles. C’est ce qui nous fait avancer et évoluer vers qui nous sommes aujourd’hui.

Nous savons qui nous sommes lorsque nous sommes en accord avec notre cœur et notre esprit. Lorsque nous faisons quelque chose qui ne nous correspond pas, soit par obligation, soit pour faire plaisir, alors, écoutons nos vibrations intérieures. Au plus profond, nous percevons que nous ne sommes pas fidèles à nous même mais que nous ne savons pas dire non pour de nombreuses raisons, légitimes ou pas d’ailleurs.

 

Observons ce qui nous empêche d’être réellement nous. Que nous dit notre petite voix intérieure ? Nous met-elle toujours sur la bonne voie, celle qui est la notre ? Écoutons nos paroles et celles que nous recevons. Est-ce la peur de la critique qui nous empêche d’agir ? Est-ce notre propre jugement ou celui des autres qui nous limite ? Ne gaspillons-nous pas notre énergie à essayer d’être celui que nous aimerions ? Ne devrions-nous pas garder notre énergie à devenir qui nous sommes réellement ? Peut être nous épuisons-nous à essayer d’être celui que nous voudrions, alors que nous pourrions laisser notre énergie s’exprimer et rayonner notre être intérieur.

 

Je vous invite à méditer sur « les accords Toltèques » un livre de Juan Miguel Ruiz. Cet ouvrage est empli de bon sens et nous guide dans notre développement personnel.

 

Ils sont en quelque sorte un « code de conduite » qui permet d’appréhender le monde sereinement, et de façon plus saine.

Le premier accord toltèque est : "Que votre parole soit impeccable"

Le deuxième accord toltèque est : "N'en faites pas une affaire personnelle"

Le troisième accord toltèque est : "Ne faites pas de suppositions"

Le quatrième accord toltèque est : "Faites toujours de votre mieux"

 

Le cinquième accord toltèque est : « Soyez sceptique mais apprenez à écouter » 

 

Lorsque l'on commence à appliquer ces accords, on apprend à revenir à soi au milieu de tous et de tout ce qui nous entoure. Devenir soi « m’aime », en se libérant du regard d’autrui, pour se respecter.

Savoir observer le monde et notre entourage sans aucun jugement et en prenant de la distance. Etre toujours attentif à faire du mieux que l’on peut selon notre état d’être. Garder à l’esprit que si l’on s’écoute, on sait.

 

 

Pour conclure, quoi qu’il en soit, nous sommes toujours en cheminement. Tout au long de notre vie, nous évoluons vers notre être suprême… La quête n’est jamais terminée…

La mort et le deuil

Bonheur / Chemin pour être heureux / Chemin de vie
Etre heureux, c'est le chemin

 

Qu’est-ce que la mort ?

Quelles sont nos peurs face à la mort ? Comment aborder le deuil des êtres que nous aimons ?

 

Il n’est pas facile de parler de la mort, il est parfois plus facile d’écrire.

Nous savons tous que nous naissons pour vivre notre vie et mourir. La nature est ainsi faite. Tout comme les graines que l’on sème, poussent, grandissent, deviennent de belles fleurs, puis finissent par faner.

Alors, qu’est ce qui fait que la mort est si difficile à accepter dans notre société ? Beaucoup d’entre nous, ont peur de la mort. Mais de quoi avons-nous peur réellement ? Est-ce la peur de vieillir ? Est-ce la peur de ce qu’il y a après ? Est-ce la peur d’être seul, ou encore la peur du manque lorsqu’un de nos proches, décède ? Quelles sont nos croyances face à la mort ? Que nous dit la société, la tradition familiale, ou encore la religion ? Quelles questions nous posons-nous ?

Nos croyances peuvent évoluer au même titre que nous grandissons en âge et en sagesse. Accepter la mort, nous permet de mieux vivre chaque instant de notre vie. Ne serait-il pas possible de changer nos croyances pour qu’elles nous apaisent et nous permettent d’aborder nos difficultés de manière sereine et douce ?

Personnellement, j’ai envie de croire que la mort n’est pas une fin en soi, qu’il y a quelque chose de beau et de merveilleux quand on rejoint le royaume des anges. Cette croyance me permet d’être confiante et de profiter de ma vie, ici et maintenant. Je veux croire en cela car, pour avoir accompagné mon père et ma mère en fin de vie, j’ai vu comme leur visage était apaisé lors du passage vers autre chose.

D’ailleurs, n’avez-vous jamais connu, entendu des témoignages de personnes ayant vécu la mort quelques secondes ? Certaines racontent avoir ressenti une grande sérénité et vu une belle lumière d’amour au fond d’un tunnel.

Il est probable que le plus douloureux dans notre vie, c’est la mort d’un être cher. Car cette mort provoque un grand vide, ce sentiment insupportable de séparation pour toujours, de manque permanent. Pourtant, parfois, lorsque la personne est vivante, on ne la voit pas très souvent, mais, lorsqu’elle décède, le vide et le manque s’installent.

Observez comme le temps nous permet d’accueillir la mort de nos êtres les plus cher, de plus en plus sereinement. Ce temps est plus ou moins long selon les personnes, mais il faut respecter ce temps d’acceptation et sa durée … comme dit la chanson de … « Il faut laisser le temps au temps »

Ce temps est nécessaire pour laisser évoluer nos émotions. Des stades ont été répertoriées comme les 7 étapes du deuil qui sont les suivantes :

1-      Le choc et le déni

2-      La douleur et la culpabilité

3-      La colère

4-      La frustration de la perte subie

5-      La dépression et le manque

6-      La reconstruction

7-      L’acceptation

Même si la souffrance de la perte d’un être cher est propre à chacun, comprendre ce processus permet de nous aider à traverser cette douleur émotionnelle. Et gardons à l’esprit qu’il est possible de surmonter nos sentiments de tristesse extrême ; Le temps est notre allié.

Observez enfin les souvenirs, ne remarquez-vous pas que seuls les meilleurs restent ? Pour ce faire, il est bien sûr nécessaire de passer par toutes les étapes du deuil. La première étape est d’autant plus difficile lorsque la mort a été brutale. Il est évidemment très douloureux de ne pas avoir eu le temps de dire au revoir à une personne aimée.

C’est pourquoi, nous pouvons prendre la résolution de mesurer l’importance des séparations et de les vivres en conscience. Et nous pouvons aussi l’expliquer à nos proches, voir à nos enfants : se dire « au revoir », c’est essentiel, même si on est fâché car on ne sait pas ce qu’il peut arriver. Et vivre avec des regrets est extrêmement difficile et négatif.

Parfois, la vie nous malmène et nous sentons la mort toute proche. Cette éventualité est effrayante, traumatisante, mais malgré tout, elle nous offre la possibilité de prendre conscience du bonheur de vivre. Alors, nous sommes capables d’évoluer, de changer, d’aborder la vie autrement. La vie est précieuse, réalisons dès à présent que nous devons en prendre soin.

J’ai envie de vous transmettre et partager mon expérience.

Il est un slogan qui m’est cher : « M., sa force c’est LA VIE ». Ce jeune homme de 14 ans, mon fils, m’a appris la valeur de la vie pendant son combat contre la maladie, un lymphome de Hodgkin, qui a failli lui coûter la vie à plusieurs reprises. Sa force a toujours été de croire en lui et à sa capacité à accepter les choses qui lui arrivent. A souffrir quand il a mal et uniquement à ce moment-là…ni avant, ni après…et le reste du temps, profiter de la vie. Il nous a donné une belle leçon de vie à nous, sa famille proche, ses amis.

Pour conclure, la mort nous accompagne tout au long de la vie. Il ne s’agit pas ici de minimiser la douleur, mais de la vivre lorsqu’elle doit être vécu car refouler ses émotions ne fait que les étouffer. Il est important de savoir qu’alors, un jour ou l’autre elles resurgissent comme un volcan en éruption. L’idée est de trouver des solutions pour accepter nos épreuves et mieux vivre la mort et le deuil des personnes que nous aimons.

Belle vie à tous !

 

 

La liberté

Tranformation / Rêves / Réalité / Liberté / Croire en soi
Crois en tes rêves et tu transformes ta réalité

Qu’est ce que La liberté?

Comment libérer mes chaines pour avancer sur mon propre chemin ?

 

La liberté est la faculté d'agir selon sa volonté suivant les moyens dont on dispose sans être entravé par le pouvoir d'autrui.

On pense souvent être libre, nous sommes dans un pays libre, les 3 mots représentant la république sont :

« Liberté, Egalité, Fraternité »

 

Mais nous sentons nous réellement libre à l’intérieur ?? Pas toujours, n’est ce pas ?

Nous ressentons nos mains liées, nous nous sentons parfois enchaînés par nos peurs, par nos blocages, par toutes ces choses que nous voudrions faire mais que nous n’arrivons pas à faire !!!

 

Libérons-nous !!! Posons-nous les bonnes questions, en conscience.

Comment je me sens aujourd’hui ? Qu’est ce qui fait que je me sens bloqué(e) ? A quel endroit suis-je bloqué(e) ? Que me dit mon corps ?

Ces questions raisonnent en nous par des maux avant même de pouvoir poser les mots dessus. Écoutons ces maux et mettons nos mots pour entendre et accueillir notre voix intérieure.

Si j’ai mal au dos, « Est-ce que j’en ai plein le dos » Qu’est ce que je ressens dans mes mains…mes pieds, ne suis-je pas « pieds et mains liés » ? Qu’en est-il de mon cœur ? Est-ce je le sens libre ou ai-je le cœur enchaîné. Ma tête « qu’est ce qui me prend la tête ? ». Mon corps est mon allié, il me parle…Je l’écoute pour comprendre et entrevoir ma nouvelle voie, mes propres solutions.

 

 

Je vous donne l’exemple de ma propre expérience :

Alors qu'aujourd’hui je me sens bloquée par mes peurs, j’accueille l’image qui m’apparaît en fermant les yeux. Je vois des mains, les miennes liées par des cordes. Je ressens l’espace de mon cœur rétréci. Ne serait-ce pas ces liens qui me paralysent et m’empêchent de m’ouvrir à l’amour que je me porte ? Je prends alors une grande inspiration et décide de défaire ces liens. Lorsque mes mains sont libérées, le mot qui me vient est « écrire ». Maintenant que mes mains sont libres, je peux et je décide d’écrire en laissant parler mon cœur ce texte sur la liberté qui me tient tant à cœur. A Présent, je me sens libre d’écrire, je me sens libre de vivre ce que je veux vivre, je me sens libre d’avancer et de réaliser mes rêves.

 

Qu’est ce que la liberté pour moi ? C’est donner de l’amour sans rien attendre en retour.

Lorsque l’on s’aime comme on est, avec nos différences qui sont nos forces, alors on est libre d’aimer les autres de manière inconditionnelle.

 

Je m’aime et je m’accepte telle que je suis avec ma richesse intérieure et extérieure qui me permet de créer ce lien d’amour, de paix, de bienveillance en moi et autour de moi,. De liberté.

 

 

La liberté, c’est s’aimer soi même pour ainsi aimer les autres.


Marche après marche ou comment évoluer grâce à des sous objectifs

Objectifs et sous objectifs / Pas à pas pour réussir
Marche après marche

Quelle est la meilleure manière d'atteindre ses objectifs??

 

Sois doux avec toi-même. Ne te pousse pas au-delà de tes limites. Si tu as besoin de te reposer, fais une pause. Le monde ne s’effondrera pas si tu prends un moment pour toi.

 

Réfléchissons à faire ce que nous faisons en conscience, une chose après l’autre… Pas à pas. Fixons nous des objectifs réalisables dans le temps.

 

Avant d’atteindre la lune, prenons le temps d’atteindre de plus petits objectifs. Nous serons ainsi satisfaits de nous même. Prenons soin de réaliser nos projets en définissant des étapes. Et retournons nous régulièrement sur ce qui a déjà été réalisé. Alors, pensons à nous remercier du travail effectué car sans nous, nous n’en serions pas là. Apprécions chaque phase de la réalisation comme quelque chose d’exceptionnel.

 

Se construire pas à pas, c’est se construire avec confiance et sérénité sur des bases solides. Tout devient possible grâce à notre persévérance et à notre bienveillance envers nous-mêmes.

 

"Le bonheur ne se trouve pas au sommet de la montagne mais dans la façon de la gravir"

Confucius

 

 

L'Amour ou comment s'aimer soi-même et aimer les autres

Amour inconditionnel / Chemin vers l'amour / S'aimer soi m'Aime
L'amour est là

 

Qu'est ce que l'amour ? Comment s'aimer? Quels sont les choix que nous faisons avec amour?

 

Sans amour nous ne pouvons bien vivre. L’amour est bien plus qu’une émotion ou qu’un sentiment, l’amour est une énergie puissante, une force originelle qui irrigue tout. Il a été observé que des bébés prématurés placés en couveuse ont plus de chance de survie si on les caresse tendrement avec amour. Le cerveau et le système nerveux des enfants se développent alors mieux s’ils reçoivent de l’amour.

 

 

L’amour est aussi vital que l’oxygène que nous respirons.

L’amour ne fait pas mal, c’est le manque d’amour qui est douloureux.

L’amour ne s’épanouit que si l’on ose être soi même.

L’amour inconditionnel, c’est l’amour qu’on porte sur soi-même, sur les autres avec toute la bienveillance qui émane de notre être…sans ambiguïté, sans naïveté, sans attendre quoi que ce soit en retour.

L’amour en conscience, c’est comme l’amour inconditionnel, c’est donner ce qu’on a d’amour en soi, c’est gratuit, c’est sain.

Lorsque nous sommes dans l’amour, nous nous sentons bien. Je vous invite à vous observer lorsque vous aimez. Ressentez ce que ça procure dans tout votre être…Les battements de votre cœur, la manière dont vous vous tenez, Les mouvements de votre respiration plus ou moins lente ou rapide, l’énergie qui vous anime…

Votre cœur s’ouvre et votre sourire illumine votre visage ainsi que tout votre être lorsque vous aimez…

Je ne vous parle pas seulement d’aimer quelqu’un, je vous parle de l’amour avec un grand A…ce que j’appelle l’amour inconditionnel. L’amour qu’on accorde aux choses simples de la vie, l’amour de la nature, l’amour de l’instant présent, l’amour de la vie, l’amour de donner et de recevoir…

 

Lorsque l'on aime quelqu’un, nous posons-nous les bonnes questions ?…. Qu’aimons-nous chez cette personne ? Que m’inspire-t-elle ? Que puis-je lui apporter pour la rendre heureuse ? Est-ce que je m’aime suffisamment pour pouvoir aimer l’autre et les autres ? Car on aime quelqu’un non pas pour soi mais pour ce qu’il est, pour ce qu’il transmet qui fait écho en nous, n’est-ce-pas ?

L’amour ce n’est pas s’approprier quelqu’un mais lui donner la liberté de s’épanouir. C’est vouloir que l’autre soit celui qu’il est réellement. L’amour a besoin de la liberté pour devenir l’amour véritable et la liberté a besoin de l’amour pour devenir une liberté spirituelle.

Aimer, c’est accompagner l’autre avec bienveillance même s’il fait des choix différents des nôtres.

 

Voici une phrase que j’ai écrit pour mon fils alors qu'il avait un choix à faire concernant sa maladie : « Je fais le vœu que tu choisisses d’écouter ton cœur. Il n’existe pas de bon ou de mauvais choix… Ce choix permet d’ouvrir ton corps, ton cœur et tout ton être à l’amour que tu as envers toi-même et à suivre ton destin lumineux. Je t’aime mon si cher extra-terrestre »

Les choix sont guidés par l’amour et l’amour guide nos choix.

 

« Donne à ceux que tu aimes des ailes pour voler, des racines pour revenir et des raisons pour rester » a dit le Dalaï Lama

 

 

Le Sommeil

Sommeil/ Ecoute ton cœur / laisser les zones d'ombre
Ecoute ton cœur

 

Comment améliorer notre qualité de vie grâce à notre qualité de sommeil?

Nos rêves ont-ils une signification?

 

Nous rêvons tous de nous réveiller le matin en pleine forme pour affronter cette nouvelle journée.

Que se passe t’il au réveil? Quelles sont vos premières sensations?? vos premières impressions? Vous rappelez vous de nos rêves? Que vous disent-ils ?

Je vous invite à observer votre première pensée au réveil…à la noter et à voir l’évolution lors des prochaines semaines.

Observez comme dans la vie on a besoin d’une pointe et d’un vide …comme les lames d’une scie ou encore comme les montagnes…Une pointe, un vide…un haut, un bas…le jour, la nuit…l’activité, le repos…

votre efficacité dans la vie dépend de la capacité à alterner l’activité et le repos, la veille et le sommeil, le travail et les vacances.

Ne pas savoir s’arrêter, se détendre, se régénérer, être constamment dans l’action comme y incite le rythme frénétique moderne, ne rend pas plus efficace, au contraire ... on s’épuise… Alors apparaît ce qu'on appelle "le burn-out".

 

C’est pourquoi que je vous invite à suivre l’exemple de la scie : alternez le yin et le yang, et laissez au vide, au repos, à la jachère, à la nuit et à l’hiver jouer leur rôle indispensable au plein, à l’activité, à la culture, au jour et à l’été. 

 

Alors que votre journée a été plus ou moins agitée…que se passe t’il durant la nuit?

Votre sommeil est là pour rétablir, accueillir et assimiler tout ce qui s’est passé dans la journée afin que vous puissiez gérer toutes les émotions que vous vivez. Vos rêves vous permettent de réguler tout ce que vous appréhendez dans la journée. Ils vous apportent des questionnements et des solutions à leur manière que vous comprenez…ou pas.

 

Apprenez à observer vos rêves afin de mieux comprendre ce que vous vivez… laissez votre intuition vous guider et vous révéler ce qui se passe dans les profondeurs de votre inconscient…Accueillez sans jugement ce qui vient à vous.

 

Enfin, apprenez à prendre des temps de pauses, des temps pour vous, à l'écoute de votre corps et de votre esprit qui réclament le repos, la quiétude...

Le temps d’une série de respiration ventrale, pour gérer toutes les émotions vécues afin que le sommeil de la nuit soit plus réparateur encore.

Observez les bienfaits des micros-siestes…à plusieurs moments de la journée, je vous invite à fermer les yeux en alliant la respiration abdominale à la visualisation d’un lieu de bien-être vous aidant ainsi à vous apaiser et à vous ressourcer.

Essayer, c’est adopter…Ce qui est bon pour votre corps est bon pour votre esprit… 

 

Le Pardon

Pardonner / Mal être / Colère / Pardon
Le Pardon

Qu’est ce que le pardon ?

Comment et à qui pardonner ?

 

Alors que nous pensons qu’il est difficile de pardonner à autrui du mal qu’il nous a fait, des paroles blessantes, du jugement, etc...,

je vous invite à poser les choses autrement, à les voir sous un autre angle, à observer une nouvelle approche du pardon.

Nous attendons trop souvent des excuses... qu’il vienne nous demander pardon... pour ce qu’il nous à fait subir, pour une parole déplacée, pour parfois des faits ou des paroles dont l’autre ne s’est tout simplement pas rendu compte que ça nous a blessé.

 

Je ne dis pas que c’est bien ou mal… , car il n'y a ni bien ni mal dans ce que je vous livre, il n'y a pas de jugement, c'est ainsi....

Alors sachez que nous pouvons attendre longtemps parfois des excuses et lorsque que nous sommes dans l’attente, nous faisons face à une possible déception…c’est alors que la rancœur s’installe et avec elle un certain mal être qui nous ronge... jusqu’à parfois nous rendre malade.

…Alors, posons nous la question suivante : Ce mal être est il également ressenti par l’autre personne? Peut être…ou pas…

L’idée est de se faire du bien et non pas du mal, n’est ce pas ? … alors, ruminer cette rancœur qui nous fait mal à nous même, est ce la bonne solution ?

J’ai envie de vous en proposer une autre qui est à méditer…Vous avez le choix de vous l’approprier ou non, on a tous le choix n’est ce pas ?…( cette question fait l'objet d'un autre questionnement que je vous proposerai lors d’une prochaine newsletter)

 

On ne pardonne pas à autrui ou pour autrui mais pour soi-même et à soi-même, car lorsqu’on pardonne, on avance vers un mieux être…(essayez … juste pour voir ce que ça vous procure, car comme j'ai lu dernièrement dans un livre : "On ne peut expliquer à l'aveugle ce qu'est une couleur, il faut éprouver pour comprendre").

Pardonner permet de couper le lien négatif qui nous lie à cette personne et récréé un lien qui est plus positif.

Pardonner, c’est avancer,

Pardonner, c’est se détacher,

Pardonner, c’est se libérer d’un sentiment de rancune, 

Pardonner, c’est retrouver la sérénité pour être allégé,

Pardonner, c’est se libérer du passé et ainsi se recentrer sur l’instant présent et bien vivre le futur.

Pardonner, ne veut pas dire oublier ni effacer le passé, ni même accepter de voir se reproduire le même schéma ;

Pardonner, c’est avancer pour soi et laisser le passé au passé 

 

Pardonner, c’est recréer le lien, un lien de paix, d’amour, de bienveillance, de sérénité, d’amitié. 

Pardonner, c’est s’aimer soi-même et ainsi aimer les autres. 

 

Rayonner ensemble


Rayonner

Quels sont les secrets du bien-être et de l'épanouissement personnel?

Si je vous disais que nous avons toutes les ressources en nous... Qu'en pensez vous? C'est ainsi, comme le dit la légende de Brahma, une vielle légende hindoue. Cette légende raconte qu'Il fut un temps où les hommes étaient des dieux. Ils abusèrent tellement de leur pouvoir divins que Brahma, le maître des dieux décida de leur ôter leur pouvoir divin et le cacher dans un endroit où il leur serait impossible de le trouver. Nos richesses, nos ressources ou encore nos pouvoirs ont été cachées si profondément en nous qu'il nous aura fallu beaucoup, beaucoup de temps et de développement personnel pour les retrouver.

De plus en plus de personnes sont en cheminement et retrouvent peu à peu leur pouvoir...

...Et vous?

Lâcher prise


Savoir écouter

Qu'est ce que

le lâcher prise?

Je dirais qu'il est différent pour chacun d'entre-nous et tant qu'on ne l'a pas réellement senti au fond de soi, on ne sait pas ce que c'est.

Il peut être de prendre de la distance, laisser courir, laisser faire, se contenter de ce que l'on a, etc...

Brosseau disait : "Il n'y a rien d'autre à faire que laisser faire" 

C'est une phrase qui me parle quand je pense au lâcher prise. Lâcher prise, pour moi, c'est laisser faire...Ce qui signifie que quoi qu'il arrive, les choses se passent et si nous lâchons prise alors nous pouvons entendre ce qu'elles nous apportent, même si des situations difficiles arrivent...et alors nous pouvons agir en conscience avec qui nous sommes et ce qui nous caractérise.

Lâcher prise ou laisser faire, ne signifie pas abdiquer mais accepter ce qui se passe pour mieux agir pour notre bien-être.

Change ton regard pour changer ta vie


Changer son regard

Comment changer son regard pour changer sa vie?

Posons nous la question de ce que nous dit notre petite voix intérieure à chaque fois que nous posons notre regard sur nous-même dans le miroir. Quelle critique nous faisons nous? Que voyons nous de négatif? Car nous avons tendance à ne voir que le négatif, n'est ce pas? Alors commençons à parler à notre petite voix intérieure et demandons lui gentiment de se taire et si elle a quelque chose à dire alors demandons lui de nous dire ce qu'elle voit de positif sur la personne qui se reflète devant nous.

 

Et comme disait Aristote : "Etre heureux ne signifie pas que tout est parfait, cela signifie que vous avez décidé de regarder au delà des imperfections."

Commençons par changer notre regard sur nous même.

soyons plus indulgent envers nous même et voyons ce que ça change dans notre vie.

 

Positiver et dire des affirmations positives nous fait avancer et permet de changer notre regard de manière bienveillante envers nous même et envers autrui.



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